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Plume Nacrée

L'inconfort, moteur de la croissance

L'inconfort, moteur de la croissance

Dans la vie, certains moments peuvent générer de l'inconfort. Il peut s'agir d'une confrontation, d’un conflit ou d'une émotion forte. Imaginons par exemple une conversation difficile ou gênante à laquelle nous ne pouvons pas échapper. S’échapper - c’est justement la stratégie que notre cerveau met en avant face à de l’inconfort. Or, faire face à l’inconfort ressenti peut être bénéfique sur plusieurs niveaux. Nous tentons peut-être une promotion au travail, ou nous voulons parler à une personne qui nous plaît. Nous échapper et éviter la conversation ne nous procurera pas de promotion, et ne créera pas une nouvelle connaissance.

Nous pouvons fuir tous les moments d’inconfort. Nous pouvons opter pour le confort.

Le confort, c’est bien.

C’est agréable.

Nous n’avons pas de souci à nous faire.

Or, si nous analysons le sujet, nous pouvons nous apercevoir que ressentir de l’inconfort peut nous mener vers des moments de bonheur. Que si nous consacrons un peu de confort, nous avons la possibilité d’élargir nos horizons, de relever des défis ou d’apprendre de nouvelles choses.

Gravir une montagne n’est sans doute pas toujours confortable. Or, la joie que nous ressentons une fois arrivés au sommet - est-ce que ressentir de l’inconfort en a pas valu la peine?

Oser parler à un inconnu - est-ce que le moment de l’inconfort ne compense pas une nouvelle amitié?

Nous ressentons de l’inconfort en nous préparant pour un marathon, mais est-ce que nos efforts ne paient pas quand nous franchissons la ligne d’arrivée?

Est-ce que l’inconfort ressenti lors des départs vers les pays lointains n’est pas compensé par tous les paysages magnifiques que nous allons découvrir?

Et si la stratégie de notre cerveau - s’échapper face à l’inconfort - était quelque chose à remettre en question? Nous avons le choix - privilégier notre zone de confort ou tâcher de la quitter et être surpris par toutes nos capacités et éblouis par tout ce que le monde peut nous offrir. Sur le chemin, nous serons, certes, confrontés à des moments d’inconfort. Mais ceux-ci peuvent nous mener vers un développement personnel indéniable.

L'inconfort, moteur de la croissance

Dans la vie, certains moments peuvent générer de l'inconfort. Il peut s'agir d'une confrontation, d’un conflit ou d'une émotion forte. Imaginons par exemple une conversation difficile ou gênante à laquelle nous ne pouvons pas échapper. S’échapper - c’est justement la stratégie que notre cerveau met en avant face à de l’inconfort. Or, faire face à l’inconfort ressenti peut être bénéfique sur plusieurs niveaux. Nous tentons peut-être une promotion au travail, ou nous voulons parler à une personne qui nous plaît. Nous échapper et éviter la conversation ne nous procurera pas de promotion, et ne créera pas une nouvelle connaissance.

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La puissance de l'écoute active

Il n’est pas facile de maîtriser quelque chose que nous n'avons jamais appris. Écouter quelqu’un va de soi, nous sommes juste censés le savoir, l’apprendre au passage. Tant de choses sont plus importantes. Comme parler, par exemple. Pour apprendre à bien parler, nous pouvons lire des livres, regarder des vidéos, participer à des séminaires et ainsi de suite. Toute la culture tourne autour de cela. En revanche, très peu de ressources s’offrent à nous quand nous nous intéressons à l’écoute en tant que discipline principale.

Quand nous y réfléchissons, nous nous apercevons que personne nous a explicitement appris à écouter. Nous savions que c’était probablement nécessaire dès le plus jeune âge. L’absence de l’écoute a d’ailleurs souvent été présentée comme une menace - si tu n’écoutes pas, tu seras puni.e/ privé.e de ....... Cela nous a franchement pas motivé à le faire mais nous n'avions pas trop le choix. Nous le faisions par obligation. En grandissant, nous pouvions écouter davantage que ce dont nous avions envie. Nous avons développé une écoute sélective. Personne nous en empêchait car tout était toujours plus centré sur le parler - nous devions bien nous exprimer. Mais écouter? Cela était secondaire. Nous le maîtrisions, en plus. Tout le monde sait comment écouter.

Or, écoutons-nous vraiment? Pour des fins d'exploration personnelle, pourquoi ne pas remplacer l’écoute sélective par une écoute active?

Savoir bien maîtriser cette discipline a priori banale est bénéfique sur tous les plans de notre quotidien. Pour vraiment écouter quelqu’un, nous devons d’abord être là, présent. Faire une pause dans le flux incessant de la pensée. Quand nous écoutons quelqu’un, nous reconnaissons que notre expérience (aussi similaire qu’elle soit à ce que nous venons d’entendre) n’est tout simplement pas la même chose. Non, nous ne savons pas comment se sent la personne exactement. C’est impossible. Quand nous écoutons quelqu’un, nous n'offrons pas de conseils qui n’ont pas été sollicités. Nous ne jugeons pas. Nous n’avons pas besoin de se mettre à la place de quelqu’un, nous avons juste besoin de l’écouter. Et la suite? Si nous avons bien écouté, nous n’avons pas besoin de nous poser cette question.

La réaction à ce que nous venons d’entendre peut tout simplement être J’entends ce que tu dis. De là, toutes les portes s’ouvrent devant nous.

Suspension du jugement, à quoi bon?

La philosophie du scepticisme attribuait une grande importance à l’idée de la suspension du jugement. Mais à quoi bon d’évoquer le sujet maintenant? L’heure n’a peut-être jamais été plus propice pour s’intéresser au concept d’épochè - suspension du jugement... Nous pourrions laisser tomber cette idée et laisser les choses telles qu’elles sont. Or, ici sur Plume Nacrée, on aime bien sortir des sentiers battus et travailler sur soi.

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